Dieu ne peut rien faire
Assis sur un nuage et regardant la terre,
Je vis qu’elle était belle et pleine de couleurs
Toute ma création, celle que je préfère
Etait un paradis dans toute sa splendeur.
J’y ai déposé l’homme pour qu’il y soit heureux,
Mais il n’a rien compris aux desseins que j’avais
Ensuite, j’ai fais la femme afin qu’il soit joyeux.
Me serais-je trompé ? ou étais-je distrait ?
J’avais pourtant pour eux, à leur disposition,
Un jardin merveilleux, entre eux deux s’est glissé
Un être malfaisant, c’était la rébellion
Qui les a dispersés, puis je les ai chassés.
Je n’interviendrai pas dans la folie des hommes,
Errants de par le monde toujours à s’entretuer
Je les ai prévenus, au jardin que l’on nomme
Le paradis d’Eden, qu’ils devaient se garder
De me désobéir, mais bien sur ils l’on fait !
Sont devenu mortel, mais avec cependant
S’ils demandaient pardon, tout deviendrai parfait
Pour abolir la mort dans un monde tout blanc.
Jacques Besnardeau©
15 juillet 2001
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